Rue Bellon

La rubrique présente alternativement les commerces côté pair puis côté impair.

Rue bellon photo hier

Depuis mars 2008, cabinet d'assurances AXA de Nicolas ZIMMERMANN.
Avant, restaurant "L'AROMATE"de M.GARCIA jusqu'à l'automne 2007.
Avant, Monsieur GIAVELLI (restaurant le PARRAIN).
Avant : bar, restaurant de Monsieur Jo VUFFRAY.
Avant, Monsieur PASCI, horloger.
Habitation.
Avant guerre, un coiffeur, Monsieur BOCCO qui est allé ensuite rue Manuel.
Avant, une tante de Madeleine TRON, Mademoiselle EYNAUD, coiffeuse, devenue Madame GRANOUX

Actuellement, devanture fermée.
Jusqu'au printemps 2010, l'atelier de reliure "NEO LIBRIS" de Mme ISSALY.
Avant, AU POINT D'ORGUE (Serge MASFRAND), Vidéo-club, Hifi, Disques.
De juillet 1982 à juin 1984, magasin de vente d'instruments de musique de M. Guy PELLETIER.
Avant, madame LIONS, mère de Madame CHARPENEL et PERRONET tenait une épicerie.
Sur une ancienne photographie que nous avons consultée, l'enseigne d'une AUBERGE DE L'AVENIR (à chercher).

Il y a une dizaine d'années, Monsieur Lionel BERAUD (Ubayo-Glaces) y vendait des glaces.
Auparavant, Monsieur Antoine PONS avait utilisé les locaux aux fins d'entreposer des marchandises (linoléum….).

Pas de commerce.

La maison appartenait auparavant à Monsieur DEMAISON, garde-champêtre qui était connu pour avoir mis un procès-verbal à sa femme qui avait étendu du linge aux fenêtres.
Monsieur PERCY a durant un temps stocké du matériel de plomberie.
Il y aurait eu une poissonnerie.

Monsieur MICHEL nous explique qu'à cet endroit était installé avant guerre le «Café des Arts » de monsieur RICHAUD. Les gens aimaient s'y retrouver pour boire de la bière et sur le côté du café, ils jouaient aux boules qui à l'époque étaient en bois ou ferrées. Ce café a fermé aux environs des années 1950.
Les sœurs RICHAUD, tout en aidant leur père, étaient couturières (vêtements pour dames et fillettes, retouches, ameublement, rideaux...).

Actuellement, laboratoire de la boucherie FOSSATTI.
Côté rue BELLON, Monsieur LANDO a vendu dans cette boutique du matériel et outils agricoles (faux, râteaux, pantalon de travail…), des peaux de lapin. Il allait dans les campagnes ramasser les peaux de lapins, de chèvres, de renards et petits animaux sauvages que les paysans pouvaient encore chasser. Il avaint une cabane à la Croisette pour les entreposer. "Un pastassière" (Magasin toujours en désordre).
Vers 1850, François puis Théophile MICHEL puis y étaient chapeliers.

Devanture fermée.
Il y aurait eu un cordonnier avant la guerre de 1939.
Henri MICHEL se rappelle que Monsieur VENTRE y avait une écurie avec des vaches pendant la guerre.

Pas d'emplacement commercial.
Il y avait à cet endroit aussi une petite écurie avec des chèvres.

Actuellement Blanchisserie - Pressing PONZA.
Avant guerre, Madame Marie MICHEL à cet endroit avait un commerce de vins qu'elle tenait de sa mère. Elle était livrée directement par ses fournisseurs. Dans sa cave trônaient des foudres (immenses barriques).Elle mettait le vin en bouteille dans sa boutique. Elle se servait d'une brouette pour transporter le vin à domicile dans des petites barriques ou des bonbonnes. Monsieur MICHEL situe la fin de ce commerce dans les années 1950-1955.

Depuis octobre 2004, salon de coiffure "HAIR INTUITION" de Muriel PELLEGRINO.
Monsieur PONS, surnommé « Chabramon », était fabricant de cercueil et s'occupait des pompes funèbres avant la guerre 1939-1945. Monsieur MICHEL nous explique qu'il se déplaçait avec un charreton pour transporter ses meubles et ses matériaux. Son successeur était un Monsieur JACQUES, un réfugié de CERTAMUSSAT jusque dans les années 1950 (il a ensuite transféré son atelier à la Croisette.

Devanture fermée.
Après guerre, atelier de bourrelerie de Monsieur Elie MATHIEU qui réparait et confectionnait selles, colliers, brides, sacoches... avant de s'installer dans le pavillon de la Villa des Alpes (pavillon détruit par l'agrandissement du carrefour de la rue du Pigeonnier, de la rue Maurin et de la rue Spitalier).

Personne n'a le souvenir d'un commerce à cet endroit. Petite devanture fermée.
Monsieur CHAMBONNET nous précise " qu'au 13 rue Bellon, il y avait un "groupement d'achat des fonctionnaires".On pouvait y acheter des caissettes de poisson frais venu directement de Boulogne, denrée rare à Barcelonnette. Il était ouvert dans les années 30-37".

Pas de commerce.
Maison d'Etienne et Marguerite BELMONDO. Ils avaient également coté cour une écurie avec des bêtes (vaches).

Pas de commerce, actuellement.
Etait installé à cet endroit un cordonnier, Monsieur Emile DAO qui avait pris la suite du grand-père de Monsieur Léon FOSSATTI (avant guerre). Monsieur DAO s'est installé ensuite au 4, rue Mercière.

Actuellement, en face de la médiathèque, dans un ancien garage, magasin "Combigraf", marquage adhésif et signalisation de Madame Marie HERNANDEZ.